samedi 21 juillet 2007
dimanche 15 juillet 2007
Bien où pas? A vous de me le dire :)
dimanche 8 juillet 2007
Anniv de Sepi...
Anniv Sepi...
Anniv Sepi...
Anniversaire de Sepi
jeudi 28 juin 2007
Alala les namoureux hihi !!
dimanche 24 juin 2007
$Oirée de la MusiC...
$OiréE de la MuSic...
jeudi 21 juin 2007
AméLiE PoUlAiN....



Amélie vit en banlieu, c'est une fille pas comme les autres ( et si on l'aime, c'est pas notre faute). Elle voit tour à tour son poisson rouge disparaître dans le bassin municipal, sa mère mourrir sur le parvis de Notre Dame, son pèe vivre une histoire d'amour incroyable avec un nain de jardin. Amélie quitte cet univers opressant pour aller vivre à Montmartre, où elle est serveuse. Un soir, celui de la mort de Lady Di, le hasard brise un morceau de carrelage dans la salle de bain. Un trou dans le mur abritait une petite boîte à souvenirs d'un enfant qui avait du vivre ici.
Elle tente de retrouver incognito et mystérieusement le propriétaire de la boîte. Il s'appel Dominique. Il en pleure de joie. Sa vie retrouve soudainement un sens.
Du coup, Amélie a aussi trouvé un but a sa vie : "améliorer la vie des autres par petites touches, de la concierge à son voisin, L'homme de verre; de sa collègue Goergette au client, l'écrivain maudit, Hipolito.
Mais un jour elle tombe sur un garçon , tout aussi timide, beau. A la station Abbesses, Nino Quinquampoix ( comme la rue près de Beaubourg) ramasse les photos des photomation sur le quai du métro. La fascination d'Amélie pour Nino perturbe un peu sa vie... Et Nino va évidemment rentrer dans le jeu d'Amélie. Elle se défile. Il lui court après. S'embrasseront-ils,
C'est un ehistoire d'amour, avec un grand A. L'amour de Paris et ses pavés, d'Amélie et ses coquetteries, des autres et leurs défauts, leurs qualités. c'est une histoire où on apprend à regarder et aimer son voisin, à vouloir le bien de tous. Et ça n'a rien de chrétien. C'est juste humain!
P.S: Un de mes meilleurs films :)
mercredi 20 juin 2007
PeTiT Me$$age...

Je suis cool | |
Quand je suis avec toi | |
Je ne suis pas cool | |
Quand je suis seule | |
Je me sens si triste | |
Ce que j'ai fait n'était pas corect | |
Je me sens si mal | |
Et je dois te le dire | |
Désolée, mais | |
Personne n'est parfait | |
Personne n'est parfait | |
A quoi t attendais tu | |
Je fais de mon mieux | |
Je me sens si triste | |
Mais tu sais que je serais sincére | |
Je me sens si mauvaise | |
Et je dois te le dire | |
Désolée, mais | |
Personne n'est parfait | |
Personne n'est parfait | |
A quoi t attendais tu | |
Je fais de mon mieux | |
Personne n'est parfait | |
Personne n'est parfait | |
J'étais malhonnête | |
Je ferai de mon mieux | |
Yeah | |
Je suis cool | |
Quand tu es avec moi | |
Je suis cool | |
Quand je me sens seule | |
Personne n'est parfait | |
Personne n'est parfait | |
Que cherches tu à prouver | |
Je fais de mon mieux | |
Personne n'est parfait | |
Personne n'est parfait | |
J'étais malhonnête | |
Je ferais de mon mieux |
mardi 19 juin 2007
ViVIeNnE WesTwOoD

BiOgRaPhIe:
« Toutes les matières sont nobles. Dans mes défilés, on retrouve toujours des taffetas ou des velours associés à des cotons lavés et des toiles déchirées ».
En 1970, elle ouvre avec Malcom Mac Laren la boutique Let it rock, à Londres, qui leur servira d’espace à showcase. Rebaptisée Too fast to live, too young to die, la boutique et les collections marquent un intérêt pour les rockers et la culture urbaine.
Sur les modèles en cuir, zips, chaînes, images porno et slogans punk se mêlent. Les créateurs signent les tenues du groupe les New York Dolls et ont les faveurs des Sex Pistols. Le style punk est né.
En 1981, Vivienne Westwood organise son premier défilé, intitulé « Pirate », à Londres.
Les mannequins, walkman vissé sur les oreilles arborent teintures au henné et dents en or et dansent sur des musiques ethniques. En 1982, elle est la première styliste anglaise après Mary Quant, inventeuse de la mini-jupe, à proposer un défilé à Paris. Dans les années 80, plusieurs de ses modèles s’inspirent du look de la reine dans ses jeunes années ! En 1989, John Fairchild, éditeur de la bible de la mode « Women’s wear daily », classe Westwood parmi les six meilleurs stylistes du monde. C’est la seule femme dans ce cas. En 1996, elle signe les costumes de L’Opéra de Quat’ sous, à Vienne.
Lors des dernières présentations de mode à Paris, la représentante d’un style glam-rock-rebelle qu’on a baptisée « enfant terrible de la mode », tout comme Jean-Paul Gaultiera fait preuve d’une excentricité toujours renouvelée.
Personnalités associées à Vivienne Westwood
Personnalités Similaires | Jean-Paul Gaultier |
Collaborations | Sex Pistols, New York Dolls, Dita Von Teese, Ann Scott |
dimanche 17 juin 2007

Je suis entrains de lire ce livre et je peut vous dire que c'est un vrai moment de bonheur et de rire que l'on est tellement plongé dedans que l'on veut savoir la suite alala et l'on se reconnait (nous les filles) vraiment dedans lol c 'est terrible donc pour ceux que sa interressent et s'ils veulent ( oui vous les hommes qui comprennés rien aux femmes lol ) venez découvrir ce que sont vraiment les femmes, lisez- le je le conseil. Vraiment bon pour la santé, on se fais les abdos de monstre!!!!!!!
Le résumé en gros du bouquin:
Empotée, complexée, un seul homme au compteur et incapable de tuer un cafard sans vomir son petit déjeuner: depuis son divorce, le quotidien de Déborah n'est pas facile-facile. Car en retrouvant sa liberté, cette femme au foyer soumise et assistée a découvert une vie de chef de famille, de femme active et d'objet sexuel qu'elle avait ignorée jusqu'ici. Dès lors les péripéties vont s'enchaîner Déborah devra apprendre à se déshabiller devant un autre homme que son mari, résister à un patron harceleur, tout en s'occupant de ses deux enfants sans faillir. Mais comment reconstruire une vie de famille quand les hommes que l'on rencontre sont plus pitoyables les uns que les autres?
Entre crises de rire avec les copines et crises de boulimie larmoyantes, Déborah va devoir faire l'apprentissage de sa nouvelle indépendance...
vendredi 15 juin 2007
ManGa Nana

Dans le Japon contemporain, deux jeunes femmes se rencontrent dans le train les conduisant à Tokyo. L'une va rejoindre son petit ami, l'autre veut devenir chanteuse pro, mais quelque part, elle est également à la poursuite de son ami. Leur destination n'est pas leur seul point commun, ce qu'elles découvrent en discutant de tout et de rien pendant un arrêt inopiné du train (bloqué par la neige). Elles ont le même âge (20 ans), mais aussi le même prénom : Nana. Elles se séparent finalement à la descente du train sans s'échanger leurs coordonnées... pour se retrouver par hasard, alors qu'elles cherchent toutes les deux un appartement. Trouvant avantageux de partager les frais de loyer, elles décident d'en louer un ensemble, l'appartement 707 (c'est une autre coïncidence, car leur nom, nana, signifie aussi le chiffre 7. Aussi différentes d'apparence que de caractère, Nana Osaki et Nana Komatsu se complètent pourtant, se soutenant mutuellement à travers les différentes épreuves qu'elles vont vivre.
L'histoire se construit autour de l'opposition des caractères des deux jeunes femmes, autour de l'étrange mélange entre la culture punk rock de Nana Osaki et celle pop kitsch de Nana Komatsu. Les deux univers, qui paraissent incompatibles au début, s'articulent finalement l'un autour de l'autre, au fur et à mesure que l'histoire des deux Nana se créée. Plus qu'une simple histoire, la trame narrative permet d'approfondir les mécanismes psychologiques à l'origine des deux cultures, leurs ressemblances et leurs différences.
L'entourage respectifs des deux Nanas, qui finit par se confondre pour certains personnages, est jalonné des nombreuses figures. On trouve aussi bien des personnalités très fortes, certaines avec un lourd passé ou des souffrances cachées, que des personnages plus "classiques", mais aucun de tombe dans le cliché simpliste. Shin,par exemple, bassiste du groupe Nana, est un adolescent qui se prostitue. Junko, quant à elle, est l'amie de Nana Komatsu, qui fait très "mature", sorte de grande sœur,toujours à l'écoute de la jeune femme.
La dépendance affective est aussi au centre du manga: entre Nana Osaki, qui se veut indépendante et solitaire, mais qui se révèle avoir des soucis de possessivité amoureuse et affective et Nana Komatsu, surnommée "Hachi" à cause de son besoin permanent d'être aimée et choyée, comme un petit chien, ce thème de la dépendance à l'autre et de la souffrance qu'elle peut causer est un thème récurrent, tout comme la peur d'être seule. Les différentes histoires de cœur entre les personnages apprennent beaucoup sur les mécanismes complexes de l'attachement affectif et de ses contradictions.
Les références culturelles sont utilisées soit comme objet récurrent ( la symbolique du "7", qui se dit "nana" en japonais, avec les numéros de chambre, les anniversaires etc ) soit comme thème ( la fête du Tanabata, expliquée à Shin qui ignore tout de ces fêtes comme le lecteur non-japonais ). Ces références à la culture japonaise montrent à la fois un aspect traditionnel, et un aspect moderne, et font la complexité du Japon actuel.
• . [ N a n a . K O M A T S U ] . •

Ce n'est ni un village ni une métropole et elle n'a aucun intérêt touristique.
Je suis la cadette d'une famille de trois enfants.
Délaissée par des parents ni riches ni pauvres, j'ai grandi peu à peu
et je vais bientôt quitter le lycée et cet état de banale lycéenne. »
Nana Ôsaki.....

Nana est une jeune femme de vingt ans, chanteuse d'un groupe de punk. Elevée par saand-mère après le départ de sa mère, Nana s'est dotée d'un caractère fort. Elle est belle, débrouillarde, ne mâche pas ses mots et semble dominer ceux qui gravitent autour d'elle.ependant, au fur et à mesure, on se rend compte de sa fragilité intérieure et de ses doutes. Son grand amour, Ren, a quitté leur ville natale pour aller connaître le succès àokyo, dans un autre groupe. Nana monte également à Tokyo, deux ans plus tard, dans larme intention de ne pas revoir Ren, mais de gravir à son tour les échelons du succès.
Je ne connais pas ma ville natale. Je n'ai jamais vu le visage
de mon père, et celui de ma mère, je l'ai oublié.
Je suis arrivée dans cette ville du bord de mer à l'âge de 4 ans.
Et j'ai grandi sous les réprimandes de ma grand-mère,
gérante d'un petit restaurant. Maintenant je vis d'un petit boulot
tout en entretenant un morceau de rêve...
mercredi 13 juin 2007
$OiréE BaRbeUc....
$OiréE baRbeUC....
$OiréE bARbeuc....
$OiréE baRbeUC....
$OiréE BarBeuc....
mardi 12 juin 2007
lundi 11 juin 2007
samedi 9 juin 2007
PeTiT $OuVeNir ....
mercredi 6 juin 2007
MoNté Là HaUt...

Le ciel ne sera plus jamais
Aussi noir qu'il n'est aujourd'hui
Comme un soleil ensorcelé
Tes yeux se perdent dans mes nuits
On n'était pas du même monde
Mais qu'est-ce que ça fait maintenant
Puisque les anges et les colombes
Se sont enfuis avec le vent
Depuis que t'es montée là-haut
Les anges n'ont jamais été plus beaux
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop
Et je t'emmènerai
Paraît que t'étais une princesse
Moi je n'en ai jamais connue
Juste des larmes et des détresses
Et ma chanson un peu perdue
Si un jour tu veux redescendre
Sache que mon cœur est ouvert
Et qu'il saigne à n'en plus comprendre
Où est l'eden où est l'enfer
Depuis que t'es montée là-haut
Les anges n'ont jamais été plus beaux
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop
vendredi 1 juin 2007
RanCiD!!!!!!

Tim Armstrong : guitare, chant
Lars Frederiksen : guitare, chant (depuis 1994)
Matt Freeman : basse, chant
Branden Steineckert : batterie (depuis Novembre 2006)